A la vigne…

Au 10 mars, les travaux de démontage, tirage de bois et nettoyage des baguettes se terminent.

Les  2 et 3 mars, Apport d’engrais organique : bénéfique pour le réveil et l’activité du sol.

Le 9 mars, une seconde préparation de prêle est pulvérisée sur quelques parcelles. Cette préparation limite l’apparition de la maladie Mildiou.

Un apport plus ciblé pour certaines parcelles et certains pieds. Il faut ajuster et adapter selon les besoins (potasse, azote, greffes).

Le pliage peut débuter ; la baguette est pliée à plat en la roulant deux à trois fois autour du fil afin de freiner le flux de sève et homogénéiser la pousse sur la baguette.  Le raisin sera bien étalé et il n’y a pas d’’entassement.

Une météo plus clémente permet un griffage des sols. Il s’agit d’un labour superficiel destiné à aérer le sol et enfouir les éléments nutritifs.

 

 

Avec l’arrivée du printemps, les boarmies sont sous surveillance. Ce sont des mange-bourgeons qui attaquent la vigne depuis le stade du gonflement du bourgeon jusqu’au débourrement. Les boarmies sont présentes sur les vieux bois et les sarments. Des comptages sont effectués dans certaines parcelles ; celui ci se fait sur 100 ceps par parcelle. Le seuil de nuisibilité est de 15% (des ceps avec au moins un bourgeon mangé).

A la cave…

Mi mars, 2 jours sont dédiés aux derniers soutirages. Les vins en fin d’élevage sortent des fûts pour être mis en masse.